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 Concordat entre l'église et l'Orléanais

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Nicolas

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MessageSujet: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 8:53

Monseigneur Gedeon, Monseigneur Lovian,
Pourrions nous avoir un bureau privé afin de parler du concordat que l'Eglise pourrait signer avec le Duché d'Orléans. Nous pouvons donner éventuellement les clés de ce bureau à Dame Lancelote qui est représentante du culte, toutefois elle aura accès aux informations en se rendant à l'ambassade de l'Eglise au chateau.
Que le Très-Haut vous guide.

Nicolas

hrp : je fais copie de ce message à Monseigneur Lovian afin qu'il soit informé de ma demande.
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 15:46

Question un peu à part, qui est l'amabassadeur de l'Orléanais à Rome ?
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Gedeon
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 16:34

L'Orléanais faisant parti du Domaine Royal, il sera concerné par le Concordat Royal actuellement en discussion à la Pairie. Les autorités Orléanaises n'auront malheureusement pas leur mot à dire une fois qu'il sera signé.. c'est maintenant qu'elles doivent s'exprimer si elles le souhaitent.

Voici pour information seulement une copie de la dernière version en discussion (en date du 22 mai), copie disponible au sein de l'assemblée épiscolpale de France.

Citation :
une annexe 6 est prévue mais juste des mises au point héraldique.


Citation :
Nous, SS le Pape Eugène V, évêque de Rome et souverain de tous les souverains par la Grâce du Tout-Puissant,

SM Lévan III de Normandie, roy de France et empereur en son royaume par la Grâce du Tout-Puissant et le consentement de ses peuples,

Avons décidé d'un commun accord que de part la nature spécifique du trône de France et du pouvoir qui y est associé, et afin que le royaume françoys incarne la symbiose naturelle devant nécessairement exister entre pouvoirs spirituel et temporel, et soit la manifestation terrestre de la cité divine et universelle, les relations entre l'Eglise Aristotélicienne et la Couronne de France devaient être heureusement réglées par un acte bilatéral ayant force de loi, un concordat royal.

Disposons ainsi, de notre vouloir et pour la plus grande gloire de Dieu et du royaume de France, ce qui suit.

- Le Roi, le royaume et la Religion

Le très aristotélicien Roi de France, est Souverain par la grâce du Divin. Il est source de tout les Pouvoirs. Il tire son pouvoir du Créateur, tirant exemple de la vie des prophètes Aristote et Christos.
Le Roi est garant de l'unité du royaume devant le Très Haut, de par ce fait la religion légitime sur ses terres est sans contestation aucune la religion aristotélicienne.

De part leur reconnaissance de la religion du roy comme religion d’état, et parce que leur hérésie est limitée, le Spinozisme et l’Averroïsme, sont dites religions infidèles, et bien que tolérées par le Roy sont soumises à une législation spécifique.


-L'Église et la Politique:

A savoir que la loi de Dieu est supérieure à celle des hommes, mais que Dieu a donné aux humains le libre arbitre.
Toutefois, ce libre arbitre est un droit individuel réglementé par la législation des hommes, nul ne peut aller contre ces lois sans se mettre en même temps hors de la cité. Dans cet ordre des choses, nul élu ne pourra se retrancher derrière ses convictions religieuses, pour participer à la création d’une législation locale allant à l’encontre de la volonté de l’administration royale.
Si un serviteur de Dieu est élu ou nommé pour servir le pouvoir Royal au nom du peuple et pour le peuple, il ne peut donc se retrancher derrière sa foi et son allégeance à l'Église pour refuser de servir le pouvoir Royal tout en faisant partie de son administration.

En cas de conflit avec sa foi ou son devoir de prêtre, un clerc devra abandonner ses charges temporelles et défendre l’idéal aristotélicien par le prêche et non par la désobéissance.

Les ministres du culte des religions infidèles, pourront également exercer des charges politiques dans le respect des principe aristotéliciens et sans utiliser leurs fonctions pour faire acte de prosélytisme, sous peine de sanctions graves.

-Les autres Religions.

L'Église universelle aristotélicienne et romaine fondée par le prophète Christos est la religion officielle du Royaume de France et elle seule dispose du droit de prosélytisme sans restriction, afin de répandre la bonne parole.
De part leur alliance avec le royaume, et temps qu'ils reconnaissent l'Église l'aristotélicienne comme religion d’état, et parce que bien que hétérodoxe ils ne sombrent pas dans l'hérésie, le Spinozisme et l’Averroïsme, sont dites religions infidèles et seront protégés comme religion amie du royaume.
Tant que la hiérarchie de ces deux religions respecte la charte du royaume et le présent concordat, l'Église aristotélicienne s'engage à ne pas les persécuter et à cohabiter avec eux.
C'est à la Curie qu'il revient de vérifier, si un schisme venait à apparaître dans une des deux religions infidèles, quelle est la branche légitimement reconnue par le présent concordat.

Les autres mouvements à caractère spirituel qui ne sont pas reconnus au titre de religions tolérées par le roi sont considérés comme des cultes païens et ne peuvent être pratiqués que de façon privée et personnelle. Toute cérémonie ou prêche publics (gargote, halles …etc) de l'un de ces cultes sont considérées comme des Hérésies.

Les religions tolérées par le Roy ne peuvent faire acte de prosélytisme ailleurs que dans le Lieu de Culte qui leur est consacré.
Contrairement à l'Église aristotélicienne qui dispose du droit inaliénable de posséder et d’entretenir une église par village et une cathédrale par diocèse, la construction de ces lieux du culte est réglementée et devra respecter toutes les normes en vigueur.


-L'Église et la Justice:

Le crime d’Hérésie est reconnu comme trouble à l’ordre public, car constitue un crime de lèse-majesté divine et humaine, une atteinte portée contre les fondations du pouvoir royal. Il sera jugé par un tribunal religieux qui pourra appliquer différentes punitions propres aux tribunaux religieux aristotéliciens, et prévues par le droit canon. A charge pour les religions infidèles d’agir de manière à ne pas enfreindre la dite tolérance royale.

En cas de refus d'appliquer la peine décidée par le tribunal ecclésiastique, le condamné pourra être déféré devant le tribunal temporel local, et devra se conformer à la sentence prononcée par le juge laïc, elle-même conforme à la demande de la procure Ecclésiastique.
*Appel des décisions du tribunal temporel ne pourront être interjetés que sur autorisation expresse du Primat et du Grand Aumônier royal. Le Grand Chancelier peut trancher au cas où ils n'arriveraient pas à un accord.
*Les sanctions lourdes, tels que les bûchers en place publique seront soumises à l’autorisation ducale ou comtale.


Les Cardinaux sont considérés comme Princes d'église, et par ce statut sont exempts de la justice ordinaire. Seule la Haute Cour de Justice peut juger les Cardinaux, lorsque la justice ecclésiastique n'est pas compétente, concernant les infractions dictes temporelle.

Les Evêques et Archevêques en cas de fautes temporelles seront jugés :

*Ou par la HCJ, si la Pairie reçoit une demande explicite de la Curie, pour éviter les procès politique puisqu'ils peuvent avoir en charge plusieurs provinces.
C'est au GA et au Primat de définir ensemble si l'affaire doit être portée devant la HCJ. Le Grand Chancelier peut trancher au cas où ils n'arriveraient pas à un accord.

*Ou par le tribunal local concerné.

Les fautes temporelles des Evêques et des Archevêques sont de la compétences de la justice d'église si elles constituent des infractions aux principes aristotéliciens. Le Conseil diocésain, via le Responsable de la Doctrine et le Teckel à poil ras, ont droit d'opinion consultative en la matière.


- L'Eglise et l'armée.

Les Vidameries sont autorisées au sein du royaume, mais elles doivent rendre compte de leurs effectifs et de leurs activités au Primat.

Les Vidames sont sous l'autorité de leur archevêque dans les limites présisés par le droit canon. Ils seront regi par le decoupage géographique ecclésiastique. Ils peuvent avoir sous leur autorité un soldat par village et deux par capitale

Une Vidamerie pourra ériger une place forte par province mais comme toute organisation miltaire reconnue, elle sera soumise aux lois du royaume en la matière.

Les ordres militaro-religieux, reconnus par le Grand Écuyer sont autorisés sur le territoire du Domaine Royal mais ne peuvent entreprendre d'action contre les intérêts de la Couronne.
La construction de places fortes pour les ordres religieux armés sera soumise à l’autorisation ducale ou comtale. En cas de refus systématique d'un duché ou comté, l’ordre bénéficiera d’un recours gracieux devant l’administration royale, par l’intermédiaire du Primat de France.


- Du rôle de l'Église dans la vie civile.

Dans un souci de cohésion le présent concordat reconnaît le calendrier aristotélicien, comme le calendrier de référence pour tous les actes, civils et religieux, établis sur le territoire du royaume de France.

Les mariages aristotéliciens sont les seuls mariages reconnus comme valides. L'Église Aristotélicienne est donc responsable de l’établissement d’un registre. L'Église Aristotélicienne est légalement habilitée à rompre les liens conjuguaux.

Ainsi, ceux n’étant pas reconnu par l'Église comme faisant partie de ses fidèles, ne pourront en aucun cas transmettre leurs titres de noblesse.
Les nobles veilleront donc particulièrement à ce que les registres de l'Église soient mis à jours concernant leurs vœux de baptême et de mariage. La Hérauderie Royale veillera au respect des règles en matière de succession de titres, et pourra exiger tout certificat qu'elle jugera nécessaire pour établir l'obédience aristotélicienne d'un noble.. Tout acte d’apostasie d’un noble, ou une éventuelle sentence d'excommunication prononcée à l'encontre de l'un d'entre eux, le frappe de fait d'incapacité à transmettre ses titres et biens nobiliaires.
Les pairs de France et les Grands Officiers, de part leur titre, tout comme Sa Majesté le Roi de France et sa famille, ne pourront être excommuniés que par le Saint Père lui même.

L'Église se donne pour mission d’aider les plus démunis. Dans ce cadre, ses représentants devront autant que possible et de manière active participer aux actions de charité et coordonner leurs efforts avec les autorités municipales et ducales.

L'Église se donne pour mission de participer le plus activement possible à l’éducation du peuple. Les prêtres devront tous avoir suivi une formation religieuse afin de répandre la bonne parole au sein du domaine Royal. A cette fin, le pouvoir royal octroie un terrain d’un hectare à chaque archevêché afin de permettre la construction de séminaires et de lieux d’enseignements des paroles sacrées. A charge pour les archevêques de s’organiser afin que toutes les paroisses du Domaine Royal soient couvertes.

En outre, les pouvoirs ducaux ou comtaux accorderont, dans la mesure de leur disponibilités, des prêts financiers à taux zéro aux religieux demandant une aide afin de pouvoir suivre des études théologiques (passage niveau 3). Ce prêt sera garanti par le pouvoir royal et par l’église. Les termes du contrat qui sera passé entre le prêteur et l’emprunteur seront fixés par écrit. Ils engageront le bénéficiaire pour une durée minimale de 3 mois, après la fin du remboursement, à remplir ses devoir pour la paroisse d’affectation en tant que curé, ou pour le diocèse en tant que Evêque ou archevêque. En cas d’empêchement exceptionnel le Primat de France devra veiller à faire rembourser le prêt, et a trouver un remplaçant le plus rapidement possible.

L'Église se donne pour mission d'enterrer les corps dans les cimetières villageois, réservés exclusivement aux fidèles aristotéliciens et préalablement consacrés par l'évêque, en leur donnant les derniers sacrements. Pour les personnes n’ayant pas droit à des funérailles aristotéliciennes les comtés et duchés seront autorisé à définir une zone unique et bien distincte faisant office de fosse commune.


- Le Primat de l’Assemblée épiscopale française, connue sous le sigle AEF.

Le Primat à droit de siège à la Chambre des Grands Feudataires.
Il est considéré par les institutions Royales comme le représentant et l'interlocuteur privilégié de l'Église Française.
Il choisit les grandes orientations de l’Assemblée Épiscopale de France, sans contradictions avec celles énoncées par les cardinaux, mais au contraire dans la continuité et en vue de l'application de ces objectifs au niveau du royaume.

Les règles relatives au primat sont définies par l’assemblée épiscopale française, validées par la Curie pour ce qui concerne le respect du dogme et du droit canon, et par l’administration française pour ce qui concerne sa conformité aux lois royales. Le primat devra se conformer aux réglementations royales pour toute action effectuée sur son domaine.


- Le Grand Aumônier de France.

La Grande Aumônerie de France est un Grand Office Royal, occupé par un ecclésiastique d'un rang d'évêque ou d'archevêque. Un membre de la Curie ne peut être Grand Aumônier.

Le Grand Aumônier est le représentant du Roi et du Royaume auprès de l'Église Aristotélicienne. Son rôle est de faire la liaison entre les deux institutions.

Il dispose donc du droit de siéger au sein de la Curia Regis, du Conseil du Domaine Royal, du Conseil des Grands Feudataires, et de l'AEF.
Le Grand Aumônier, comme n’importe quel Évêque, peut déposer un amendement sur toute décision de l'AEF, en son nom ou au nom de l’administration royale.

De part ses doubles devoirs, tant temporels que spirituels, le Grand Aumônier n’est pas soumis à la hiérarchie de l’église pour ses fonctions de GA. Il reste soumis à la hiérarchie de l’église concernant son diocèse. Ces restrictions s’appliquent aussi aux membres de la Chapelle Royale.

Pour le bon fonctionnement des institutions royales, des locaux seront ouverts à Paris selon les besoins, et les deux parties, à savoir l’administration romaine et l’administration royale s’engagent à participer activement aux travaux en vue de faire du royaume très aristotélicien de France un royaume juste, et de servir le Roi légitimement sacré de droit divin par le Saint Père.




Fait à Rome le XXXXXX

Les signatures d'usages...etc


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Gedeon
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 16:35

Citation :
annexe 1 a écrit:
Des lieux de culte tolérés

Les cultes tolérés
au sens du concordat royal de France sont autorisés à pourvoir à l'établissement d'un lieu de prière par village où demeure au moins un représentant de leur clergé officiel.

Les spynozistes pourront donc ouvrir une Ecole spinoziste si un Pasteur est disponible pour s'en charger.
Les Avérroïste pourront donc ouvrir un Temple avérroiste si un Gardiens de
la foi, une astrologienne ou le Primus est présent pour s'en occuper.

L'établissement d'un tel lieu de culte est soumis à l'autorisation préalable du conseil comtal ou ducal sur le territoire duquel la construction est envisagée. Par ailleurs, les représentants du clergé de ces cultes projetant de fonder un lieu de prière prendront soin d'en informer a priori:

-les autorités épiscopales et/ou archiépiscopales sur les diocèses et/ou archidiocèses desquelles la construction est envisagée
-le Primat de France
-le Grand Aumônier du royaume de France


annexe 2 a écrit:
De la résolution des conflits entre ordres militaro-religieux et autorités laïques.

Dans l'hypothèse où un conseil ducal ou comtal s'opposerait à l'action d'un
ou plusieurs ordres militaires sous allégeance pontificale, un conseil restreint composé du Primat de France, du Grand Aumônier du Royaume de France, du Connétable de France, et du Grand Écuyer royal, se réunit pour statuer de la conduite à tenir en l'espèce, tant pour les institutions du royaume que pour l'Église de France. Ce conseil restreint se réserve le droit de prendre toute mesure nécessaire, selon les circonstances de la cause et les impératifs du maintien de l'ordre public et des relations de mutuelle compréhension entre les institutions du royaume de France et les autorités spirituelles.


annexe 3 a écrit:
Des droits et des devoirs du Grand Aumônier royal.

La Grande Aumônerie de France est un Grand Office Royal, occupé par un
ecclésiastique de rang épiscopal ou archiépiscopal. Un membre de la Curie ne peut en aucun cas occuper l'office de Grand Aumônier.

Le Grand Aumônier est le représentant du Roi, du Royaume et de la Pairie
auprès de l'Église Aristotélicienne. Son rôle est d'assurer la bonne tenue des rapports nécessaires entre les institutions royales et les autorités ecclésiastiques. Le Grand Aumônier a en charge le salut des âmes des plus hauts représentants du Royaume, et veille à ce que soient observés, dans le gouvernement de la France et dans les actes du souverain, les principes de la foi aristotélicienne.

Le Grand Aumônier est le ministre de la chapelle royale, dont il occupe la
chaire de droit. Il occupe le poste de évêque du Palais.

Le Grand Aumônier siège de droit au sein de la Curia Regis, du Conseil du
Domaine Royal, du Conseil des Grands Feudataires et de l'Assemblée Épiscopale de France. Le Grand Aumônier a la faculté de déposer des amendements aux dispositions débattues par l'Assemblée Épiscopale de France ayant effet suspensif de leur application. L'Assemblée Épiscopale de France est tenue d'étudier les propositions d'amendement formulées par le Grand Aumônier, sous peine d'invalidité du texte promulgué. Il ne pourra pas déposer plus de quatre amendements par texte.

Les commissions inquisitoriales, sous peine d'invalidité, feront l'objet d'une notification préalable au Grand Aumônier du royaume de France, ainsi qu'au conseil ducal ou comtal sur le territoire duquel l'inquisiteur doit accomplir son office. Les commissions inquisitoriales sont soumises à l'accord a priori du prévôt royal.

La spécificité de la fonction de Grand Aumônier, et son caractère d'office royal dispensent son titulaire de se soumettre à la hiérarchie ecclésiastique dans l'exercice de son ministère, sauf l'administration de son diocèse, pour laquelle il répond normalement de ses actes par devant l'Assemblée Épiscopale de France, comme tout autre évêque.

Tous les membres de la chapelle royale sont directement et exclusivement soumis à l'autorité du Grand Aumônier, et de ce fait sont dispensés, de même, de se soumettre à la hiérarchie ecclésiastique dans l'exercice de leurs fonctions, sauf leurs éventuels ministères au sein de l'Église.

Le Grand Aumônier a la faculté de faire appel à des moines et moniales pour rejoindre la chapelle royale dans l'administration des cérémonies religieuses d'importance, dans le respect de leur statut de réguliers, c'est à dire de membres du clergé soumis strictement et sans réserve à la hiérarchie ecclésiastique.

Le Grand Aumônier, en coopération avec la primatie de France, pourvoie à
l'administration des établissements hospitaliers de Paris, et veille à ce que les sacrements soient dispensés aux malades et aux nécessiteux.

De manière générale, le Grand Aumônier a en charge d'entretenir des relations de mutuelle compréhension avec la primatie de France, et aura soin de l'associer étroitement à la conduite de la vie spirituelle des institutions royales. Le Grand Aumônier veillera également à faire bon accueil et à prêter assistance aux membres de la diplomatie romaine, représentants de la nonciature apostolique.


annexe 4 a écrit:
Des droits et devoirs du Primat de France.

Le Primat de France est tenu d'assister personnellement aux grands évènements religieux qui rythment et légitiment heureusement l'existence des institutions du royaume que sont le baptême royal, le sacre royal, les noces royales, et les funérailles royales. De manière générale le Primat de France prend soin de participer activement et régulièrement à la vie spirituelle du royaume de France, en partenariat avec le Grand Aumônier du royaume de France, qui prendra soin d'informer la primatie de l'organisation des célébrations et manifestations spirituelles d'importance, en particulier
l'administration des différents sacrements aux princes du sang royal ou aux grands nobles du royaume de France.

Le Primat de France a la faculté de recourir aux ordres militaro-religieux sous allégeance pontificale, sur autorisation expresse de l'Assemblée Épiscopale de France votée à la majorité simple, et après notification préalable au Grand Aumônier du royaume, au connétable royal, ainsi qu'au(x) conseil(s) ducal(aux) et/ou comtal(aux) sur les territoires du(des)quels porte l'intervention des forces armées aristotéliciennes. Tout mouvement de troupe au sein du domaine royal est soumis à l'autorisation préalable du connétable royal.

Le Primat de France et l'Assemblée Épiscopale de France sont les garants de la bonne application du concordat royal. Ils sont habilités, en coopération étroite avec la nonciature apostolique, à en négocier des amendements avec les autorités du royaume de France.

Les attributions du Primat de France quant à la nomination et à la révocation des cadres de l'Église de France sont définies par les statuts propres de l'Assemblée Épiscopales de France.

La primatie de France, de manière générale, veille à collaborer avec les services romains de la nonciature apostolique, à charge pour l'église, en particulier la curie, de définir les rapports entre ces deux institutions de la
diplomatie ecclésiastique.

Le Primat de France et l'Assemblée Épiscopales de France sont tenus de coopérer avec le Grand Aumônier dans l'administration des établissements hospitaliers de Paris, et veilleront en particulier à ce que les sacrements soient dispensés aux malades et aux nécessiteux.

annexe 5 a écrit:

De l'exception Normande.

Suite aux accords de Rouen, la Normandie bénéficie sur son sol et uniquement sur celui-ci, d'une exception permettant la même tolérance envers le culte phookaistes que envers les cultes infidèles.
Pour arbitrer les éventuelles tensions et problèmes liés à la religion, la Curie romaine reconnaît le CdC normand, comme l'organisme d'arbitrage entre l'Église aristotélicienne, les avérroïstes, les spinozistes et les phookahiste, dans le respect du présent concordat avec le domaine royal.


annexe 6 a écrit:

De la Herauderie et des ordres Papals

----à venir---



Dernière édition par le Jeu 31 Mai 2007 - 16:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 16:35

De mesme pour vostre information, voici la liste des personnes travaillant de concert sur ce sujet :

Citation :
Juliano Di Juliani
Aconit de Longueval
Alsbo
Altho
Biquette
Camus - (qui rempla Lodovicus)
cardinal
Charles de Chablis
godvador
heraklius
kirah
Motarde d'Ascalon
Nakuneuil
olaf
tony77fr
Wulfen
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 16:40

L'évêque allait tourner les talons pensant avoir tout dit et puis se ravisa pour préciser :

Pour ce qui est de l'aménagement des locaux, seul Monseigneur Lovian possède l'autorité pour en décider, vous avez donc bien fait de le contacter. Enfin à ma connaissance, je représente actuellement l'un des interlocuteurs que Rome peut avoir en Orléanais, mesme si je ne pense pas estre la personne la mieux placée pour le faire et espère laisser la main pour rester seul conseiller.
Je pense en effet que la double charge écclésiastique et diplomatique pourrait estre considérée comme incompatible pour certains cas de négociations.
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 17:26

Monseigneur je peux me tromper mais il me semble que le Maine à fait un concordat avec l'Eglise alors qu'il est aussi duché faisant partie du Domaine Royale, je vais me renseigner pour être sûr auprès de Monseigneur Savoie.
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Nicolas

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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeVen 1 Juin 2007 - 8:58

Arilan a écrit:
Question un peu à part, qui est l'amabassadeur de l'Orléanais à Rome ?

Sauf erreur mon frère, c'est moi. J'avais pourtant mis en gargote et en halle afin que chacun soit informé, il faut croire que tout n'est pas lu.
Citation :

Proclamation de nomination à la Nonciature Apostolique

Nous, frère Roger, Protonotaire Apostolique, nommons en ce neuvième jour du quinzième mois de l'an mil quatre cent cinquante cinq, au nom du Conseil Supérieur de la Nonciature Apostolique et par la Grâce d'Arnvald :

Nicolas_le_sage, Ambassadeur Apostolique en orléans avec tous les droits et devoirs s'y rattachant. Elle pourra donc se présenter à la Hérauderie du Clergé afin d'y faire ajuster ses ornements de Ambassadeur Apostolique.

La tâche consistant à assurer les intérêts de l'Eglise d'Aristote par sa Diplomatie est obscure & délicate, mais nécessaire au bon office de celle-çi. Bénît soit celui qui l'execute avec dévotion.

Pour que la reconnaissance de la présente en soit accrue, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Scellé en le palais Saint-Nicholas à Rome,
Le quinzième jour du mois de mai de l'an MCDLV

Monseigneur Frère Roger
Protonotaire de la Nonciature Apostolique
Grand Archiviste Théologien de l'Ordre Cistercien

Concordat entre l'église et l'Orléanais NonciaturepjConcordat entre l'église et l'Orléanais Sceaurogerjaunecd7


Merci pour ces précieuses informations Monseigneur Gedeon, je vais en prendre lecture, par ailleurs Monseigneur Lovian m'a indiqué qu'il ouvrirait un petit bureau dont lui seul possède la clef.

Puis entendant la dernière remarque du frère arilan

Mon frère, s'il est un concordat signé auparavant, il devra s'ajuster en fonction du concordat royal, notamment pour les duchés, comtés qui sont dans le domaine royal. Un concordat est peut être en discussion actuellement avec le maine, mais il n'a toujours pas été signé par rome ou le pouvoir temporel, sans quoi il serait archivé, ce qui n'est pas le cas actuellement.

Monseigneur Gedeon, toutes les personnes citées sont celles qui travaillent au concordat royal comme représentant de l'Eglise ou alors se sont ceux qui y travaillent en lien avec la province de Sens et plus particulièrement le duché d'Orléans puisque s'est l'Orléanais qui nous concerne icilieu ?
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeVen 1 Juin 2007 - 16:13

Premièrement vous avez mal compris mal question Messire Rolling Eyes , avant votre venu il n'y avait pas d'ambassadeur apostolique mais un ambassadeur simple, ce poste a-t-il disprau avec votre nomination ou quelqu'un l'habite t-il encore ?

Ensuite je me suis renseigner auprès de Monseigneur Savoie et il existe bien un concorsat mais temporaire en attente de celui avec le DR.
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeVen 1 Juin 2007 - 16:28

Pour répondre à vostre récente question Arilan, l'ambassadeur apostolique représente l'Eglise au sein des Duchés et c'est donc Nicolas qui occupe cette charge.

J'ai répondu présent à l'appel de Dame Jades et la personne qui représente actuellement le Duché Orléanais au sein de l'Eglise c'est moi. Nicolas et moi sommes donc pour l'heure amenés à travailler tous deux ensemble, enfin si mes services sont toujours requis.

Se retournant vers Nicolas

Mon fils, à ma connaissance, la liste de noms que je vous ai fournie est la liste des personnes travaillant de concert pour l'établissement de ce concordat entre les Domaines Royaux et l'Eglise. Ainsi, nous avons des pairs de France (Biquette, Cardinal, Charles de Chablis, Olaf), le Grand Maistre de France en la personne de Juliano Di Juliani, des représentants de l'Eglise ( Frère Tony, Frère Olaf, Frère Camus) et puis des représentants des pouvoirs dans les domaines Royaux (Ducs ou Comtes en exercices).

Il est à noter que l'Orléanais n'est point représenté dans cette délégation diplomatique, et cela est regrettable.

J'ai cependant confiance en le beau Cardinal, Charles de Chablis, Frère Olaf, Messire Biquette et Frère Tony, les ayant tous connus et cotoyés lorsque je vivais en Bourgogne et pour l'heure le projet du présent Concordat me semble suivre une ligne intéressante que ce soit pour l'Eglise en les Domaines Royaux, pour les pouvoirs temporels de ces terres et pour le Royaume de France.
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Nicolas

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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeMar 5 Juin 2007 - 11:37

Merci de ces précisions Monseigneur Gedeon, pour ma part j'ai proposé une tentative de concordat au frère roger, je peux vous le faire parvenir par message privé le temps que nous puissions avoir notre bureau privé, ou encore nous avons le chateau d'Orléans, toutefois nous serons directement à la vue du Temporel.
Enfin je crois que Dame Jadès, notre chambellan en Orléanais est pour un duché Aristotélicien tout comme la très grande majorité du conseil.
Dans ce cas il faudrait proposer à Monseigneur Lovian de nous rejoindre et demander à Dame Jadès qu'elle lui ouvre les portes du bureau.

Qu'en pensez-vous ?

Excusez-moi messire arilan, il me semblait tellement logique que Monseigneur soit l'Ambassadeur de l'Eglise pour l'Orléanais que je n'avais pas compris que vous parliez de cette charge. Pour ce qui est des concordats, je me fie uniquement à ceux qui sont signés et archivés, voilà pourquoi je n'ai pas vu celui du Maine.
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitimeMar 5 Juin 2007 - 16:48

Je ne vous tiens pas rancoeur de cette petite maladresse mon frère.
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MessageSujet: Re: Concordat entre l'église et l'Orléanais   Concordat entre l'église et l'Orléanais Icon_minitime

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