Demande de changement de charge

Monseigneur Jujux84,
Monseigneur Lolotlse,

je vous demande humblement de bien vouloir prendre en compte ma requête de transfert vers la Charge de Curé de Sens si celle-ci se libère ou bien une autre ville qui posséderait une forêt comme Montargis, qui me semble pas mal du tout presque mieux même (enfin si la charge se libère).

Je viens de démissionner de toutes mes charges civiles afin de ne pas créer un précédent judiciaire pour l'accès à l'Assemblée Bourguignonne.
Selon la législation en vigueur, je ne suis donc plus Bourguignon, car je ne réponds pas aux critères de la Loi civile.
C'est pourquoi ne voulant pas créer de précédent pour que des personnes mal intentionnées puissent un jour accéder à l'Assemblée Bourguignonne, j'ai démissionné de mes postes civils, et que je m'apprête à quitter la Bourgogne dès que possible (économiquement parlant).

Pieusement vôtre
Jean

Courrier déposé à l'Assemblée Bourguignonne le 29/10

Jean De Puisaye a écrit:

Mes respects,

à la demande de Monseigneur Lolotlse, je suis revenu exceptionnellement à l'Assemblée Bourguignonne reconsulter ce débat.
A l'occasion de ce retour, j'ai pris connaissance des différents courriers en attente.

Je présente tout d'abord mes excuses à Dame Faguiang, mais n'étant point revenu ici, je n'avais pas eu connaissance de sa convocation plus tôt.
J'ai bien reçu un courrier de Messire Cedric92. Je maintiens que je n'ai aucun grief contre Messire Cedric92. Il est dommage qu'il ait été maladroit par ses formulations mais il me semble qu'il n'a fait que ce qui lui semblait juste.
Même si mes paroles précédentes n'ont pas été entendues, je réitère une nouvelle fois que je ne souhaite aucune poursuite à son encontre quand à la maladresse dans les propos de son courrier type, une simple correction suffira à l'avenir.
La réunion avec Dame Faguiang et Messire Cedric92 n'est donc pas nécessaire.

J'ai pris acte des avis de chacun.

Depuis quelques temps, je réfléchis au bien fondé de ma tâche à réaliser à Tonnerre et j'ai longuement prié Aristote pour qu'il me montre la voie à suivre.
Le lendemain de ma prière en l'église de Tonnerre, j'ai reçu la missive de Messire Cedric92. Bien que le message fût maladroit, il n'en ait pas moins vrai.
D'ailleurs s'il n'avait pas effacé ma première réponse alors je n'aurais pas monté au créneau. Ce qui m'avait alors offusqué ce n'est point le fait que j'aurai pu perdre mon siège à l'Assemblée Bourguignonne mais que certains individus mal intentionnés, aient pu, eux, y avoir accès sans être inquiétés, par le passé, alors que cette procédure aurait pu, peut-être, éviter leurs présences.

Ce que je ne veux surtout pas c'est que tout ce que à quoi j'ai participé que ce soit au niveau de la Police ou de la Justice, puissent être annulé suite à un vice de forme ou de procédure, car mon identité modifiée ne correspondrait plus une fois au moins à mes anciennes signatures, citations, témoignages...

Je ne changerai donc pas d'identité pour cela.

L'histoire a pris une ampleur de débat que je n'avais pas soupçonné. Cela a même remonté au Saint Office de Rome, où je travaille, ...
J'ai bien essayé d'expliquer à plusieurs reprises mon point de vue mais apparemment nombre ne semble pas m'entendre.

Je suis en paix, calme et serein.

Si je quitte Tonnerre, un autre Clerc viendra prendre la charge de la Paroisse de Tonnerre puis un autre puis un autre tant qu'un guide spirituel pourra aider les Hommes à trouver la voie...
Si je quitte la Bourgogne alors c'est pour mieux servir là où l'on pourrait avoir besoin de moi.
La présence temporelle des Hommes n'est que passage.
Le Très Haut a créé le mouvement.
Et du mouvement Il a créé la vie.
Mon départ de la Bourgogne est désormais lié à ma hiérarchie ecclésiastique.

Je reste persuadé maintenant que tout ceci est lié à mes prières à Aristote pour qu'il me montre la voie à suivre.
Il est temps simplement que je serve surtout autrement que dans les affaires civiles qui n'ont pas les valeurs intemporelles de l'Eglise, auxquelles j'adhère.

Respectueusement et pieusement vôtre

Jean de Puisaye