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| [Messe] Messes sur les Saints | |
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Jean de Puisaye ancien clergé de l'archevéché
Nombre de messages : 504 Age : 30 Localisation : Archidiocèse de Sens Points : 699 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: [Messe] Messes sur les Saints Ven 17 Avr 2009 - 22:01 | |
| Bonjour,
Ici je propose que l'on dépose les présentations de nos présentations des Saints hors messe.
Pieusement vôtre
Jean de Puisaye |
| | | Jean de Puisaye ancien clergé de l'archevéché
Nombre de messages : 504 Age : 30 Localisation : Archidiocèse de Sens Points : 699 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Saint Valentin (der 14/02/57) Ven 17 Avr 2009 - 22:01 | |
| Offices : - 14/02/1457 sur le parvis de l'Eglise Sainte Nitouche de Cosne par Jean de Puisaye, Vicaire Paroissial Contenu (IG) :- Spoiler:
Jean commença par sortir dix bancs de l'église et les disposa en demi-cercle. Puis il déchargea les sept caisses de la charrette et disposa les six premières en forme de croix et à l'intersection, il monta la septième.Il faisait un peu frais mais le soleil était radieux et ses rayons réchaufferaient les personnes immobiles. Il regarda dans le ciel la position du soleil et estima qu'il était dans les temps.
Il déchargea la marmite couverte de vin chaud de la charrette à côté des caisses et disposa les assiettes de tranches de pain d'épices sur les caisses.
Il entra dans l'Eglise et commença à faire sonner la cloche en la bloquant sur son retour : le son était différent de celui de l'appel de la messe : DING, ding, ... DING ding.... DING ding... DING ding.... DING ding.... ... DING ding.... DING ding.... Il bloqua la cloche et retourna vers ses caisses. Il s'assit sur celle tout en haut pour voir et être vu de la future assemblée, enfin il l'espérait.… Jean serra des mains. Il en profita pour saluer des passants et les inviter à partager ce moment d'amitié. La bande de gamins du quartier qui n'osait approchée, fut également invitée à participer.
Puis Jean s'assit sur la première caisse.Mes Amis, je m'en va vous raconter l'Histoire de Valentin qui fut canonisé pour ses actes.
On ne sait que peu de chose de la vie de Saint Valentin avant l'an 268, si ce n'est qu'il était prêtre aristotélicien à Rome et exerçait tranquillement son sacerdoce depuis de nombreuses années.
C'est en cette année qu'arriva à la tête de l'Empire Romain un nouvel Empereur dénommé Claude II. Or, ce rude militaire païen avait édicté une loi inique et barbare : sous prétexte de ménager les forces vives des jeunes gens en âge de combattre, il leur avait interdit le mariage. L'Empereur se justifiait en prétendant que les hommes qui étaient engagés dans une vie maritale et familiale devenaient de bien mauvais soldats car ils avaient alors des intérêts familiaux qu'ils ne pouvaient laisser derrière eux.
Or, le prêtre Valentin avait gravement contrevenu à cette prescription antinataliste. En effet, il bafouait ouvertement l'édit impérial en mariant à tour de bras tous les jeunes gens qui lui en faisaient la demande, son église étant envahie de couples d'amoureux... Jean vérifia si son auditoire était captivé.… Heureux d'avoir pu captivé son auditoire Jean poursuivit :Aux jeunes gens amoureux qui venaient voir Valentin, celui ci leur disait: "Dieu a créé l'homme et la femme pour qu'ils forment un couple. Or, le Bonheur ressenti par les couples amoureux est divin, car il vient de Dieu. Si vous avez conscience que l’amour que vous vivez a sa source en Dieu, que vous vous aimez de l’Amour de Dieu, par l’Amour de Dieu, quoi de plus normal de Lui dire votre reconnaissance, en vous unissant devant lui, dans son Eglise par le sacrement du Mariage. Dès lors, le jour de votre mariage, votre passage à l’église sera une action de grâce à Dieu : car votre amour a sa source en Dieu et ce sera Lui qui sera le centre de la célébration religieuse."
Quoi qu'il en soit, le bon prêtre Valentin, sans doute dénoncé par quelque prétendant évincé, fut amené à comparaître devant l'empereur Claude.
Ce dernier lui demanda : "Qu'est ceci, Valentin ? Pourquoi n'obéis tu pas à mon édit qui proscrit le mariage ?"
Ce à quoi Valentin répondit : "L'homme et la femme unis par un amour pur et désintéressé doivent être mariés, car, par le mariage, qui est l'un des sacrements divin, c'est Dieu lui-même, source de tout amour, qui est glorifié. En me demandant de renoncer à marier ceux qui s'aiment, tu me fais aller contre Dieu, et cela je ne le peux. Si tu connaissais la grâce de Dieu, tu ne parlerais jamais ainsi, mais tu renoncerais aux idoles pour adorer le vrai Dieu qui est au soleil."
Alors le Préfet de Claude prit la parole "Qu'as-tu à dire, Valentin, de la sainteté de nos dieux?"
Valentin lui répondit : "Je n'ai rien à dire, sinon qu'ils ont été des hommes misérables et souillés en toute manière."
Devant cette envolée blasphématoire aux yeux du païens Claude, il appela un de ses plus cruels officiers, appelé Astérius, et lui ordonna de l'emmener hors les murs afin de le décapiter.
Astérius ne put retenir une grimace de dépit. De longue date, il avait promis à son épouse, une commère plutôt du genre acariâtre, de passer cette soirée-là en famille. S'il ne rentrait pas en temps et heure, Madame l'officière allait encore imaginer des tas de choses !
Il se décida donc de ramener Valentin chez lui et de s'occuper de son supplice le lendemain.
Mais quand Valentin fut entré dans la maison de cet homme, il dit : "Seigneur Dieu, vous qui êtes la véritable lumière, éclairez cette maison, afin que vous y soyez reconnu comme le vrai Dieu."
L'officier surpris lui dit : "Je suis étonné de t'entendre dire que ton Dieu est la lumière. Si ma fille, qui est aveugle depuis longtemps, recouvre la vue, je ferai tout ce que tu me commandera."
La jeune fille fut donc amenée à Valentin, qui, lui mettant la main sur les yeux, fit cette prière : "Dieu Créateur de toute chose, permet à cet enfant de pouvoir contempler ce qui est la beauté de Ta création, car les choses sont des copies des Idées."
A ces paroles, elle reçut aussitôt la vue, et Astérius et sa femme, se jetant aux pieds de leur bienfaiteur, le supplièrent, puisqu'ils avaient obtenu par sa faveur la connaissance du Dieu vrai, de leur dire ce qu'ils devaient faire pour se sauver. Le Saint leur commanda de briser toutes les idoles qu'ils avaient, de pardonner à tous ceux qui les avaient offensés, et enfin de se faire baptiser, leur assurant que, par ce moyen, ils seraient sauvés.
Astérius fit tout ce qui lui avait été commandé, délivra les Aristotéliciens qu'il tenait prisonniers, et fut baptisé avec toute sa famille, qui était composée de quarante-six personnes. Valentin qui se lia d'amitié avec la fille d'Astérius lui offrit alors des feuilles rappelant la forme d'un coeur qu'il signa: De ton Valentin.
Jean marqua un temps, car la fin pouvait être difficile pour certain, mais le jugement de Dieu devait être connu de tous. Nous arrivons à la fin de ce récit...… Malheureusement, l'empereur, averti de ce changement, craignit quelque sédition dans Rome, et fit prendre Astérius et tous ceux qui avaient été baptisés, et les fit mettre à mort par diverses sortes de tourments.
Pour Valentin, le père et le maître de ces bienheureux enfants et disciples, après avoir été longtemps détenu en une étroite prison, il fut battu et brisé avec des bâtons noueux et finalement fut décapité sur la voie Flaminienne le 14 février de l'an 270.
L'Empereur Claude fut puni par Dieu pour ce massacre, et mourut de la peste dès le mois d'août suivant.
Et c'est pour honorer son sacrifice pour l'amour que Valentin est canonisé et choisi comme Saint Patron par les Amoureux.
Au XIème siècle, le chef de saint Valentin, fut apporté à l’abbaye de Jumièges, du diocèse de Rouen; Baudry, Evêque de Dol vers 1020, a fait le récit de cette translation et des miracles qui l’accompagnèrent. Voilà donc mes chers amis, l'Histoire de Saint Valentin.Jean bondit sur ses pieds en bas de la caisse et invita tout le monde à le rejoindre pour partager le vin chaud et le pain d'épicesVenez partageons le pain et le vin mes Amis, dans l'Amitié Aristotélicienne !
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| | | Jean de Puisaye ancien clergé de l'archevéché
Nombre de messages : 504 Age : 30 Localisation : Archidiocèse de Sens Points : 699 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Saint Benoît (der 16/04/57) Ven 17 Avr 2009 - 22:08 | |
| Offices : - 16/04/1457 sur le parvis de l'Eglise Saint Thomas de Tonnerre, par Jean de Puisaye, Vicaire Paroissial nommé à Tonnerre Contenu (IG) :- Spoiler:
Jean commença par sortir trois bancs de l'église et les disposa en demi-cercle. Puis il déchargea les sept caisses de la charrette et disposa les six premières en forme de croix et à l'intersection, il monta la septième.Il faisait un peu frais mais le soleil était radieux et ses rayons réchaufferaient les personnes immobiles. Il regarda dans le ciel la position du soleil et estima qu'il était dans les temps.
Il déchargea la marmite couverte de vin chaud de la charrette à côté des caisses et disposa les assiettes de tranches de pain d'épices sur les caisses.
Il entra dans l'Eglise et commença à faire sonner la cloche en la bloquant sur son retour : le son était différent de celui de l'appel de la messe : DING, ding, ... DING ding.... DING ding... DING ding.... DING ding.... ... DING ding.... DING ding.... Il bloqua la cloche et retourna vers ses caisses. Il s'assit sur celle tout en haut pour voir et être vu de la future assemblée, enfin il l'espérait.... Jean serra des mains. Il en profita pour saluer des passants et les inviter à partager ce moment d'amitié. La bande de gamins du quartier qui n'osait approchée, fut également invitée à participer.
Puis Jean s'assit sur la première caisse et déplia un long parchemin roulé.Mes Amis, je m'en va vous raconter l'histoire de Benoît qui fut canonisé pour ses actes. - Citation :
Introduction
Benoît de Pise Yaolo, Ben pour les afficianados ou Saint Benoît pour les aristotéliciens, fondateur de l'ordre bénédictin désormais éteint et surtout inspirateur de l'essor monastique. Il est considéré comme le Saint Patron des ordres religieux aristotéliciens et du monachisme, inspiré par la Tablette d'Oane, rédacteur de la Règle Saint-Benoît (mère de toutes les autres chartes internes aristotéliciennes) et des 12 préceptes portant aussi son nom destiné à civiliser un peu la vie de la cité.
Début
le petit ben est né vers l’an 480 dans une famille de snobinard romain. En proie à une crise existencielle et rejetant le mode vie dépravé de son milieu, il s'intéressa à l'étude de la logique d'Aristote et au mysticisme de Christos. Benoît rejeta les faux dieux des mondes obscurs tant il fut illuminé par la lumière de la Révélation.
Benoît s’installa sur les places publiques, les places du marché, et il se mit à prêcher. Il raconta aux femmes, aux hommes et aux enfants présents les vertus, la nature et son enseignement, la beauté profonde de l’homme. Son message était simple, c’était celui de Christos : " Si pour vous la vie n’a pas de sens, alors aimez la vie plus que le sens de la vie. N’attendez pas de mourir pour comprendre que vous passez votre vie à côté de la vie. Rappelez vous : Nous ne sommes pas nés seulement pour mourir, nous sommes nés pour vivre. ". Il leur disait aussi l'Etre Divin est tout-puissant ET l'essence des choses est dans les choses-mêmes, et leur donne forme. La forme idéale est la cité pour l’homme éduqué puisse atteindre le bonheur.
Tablette et Lois
Un roi, ayant été séduit par ses prêches enflammées, attribua à Benoît une terre à Cluny pour qu’il puisse installer sa communauté. La communauté prit son essor. Les bâtiments furent érigés, les moines assemblés en un lieu où chacun pouvait venir trouver la sagesse. A la tête de ce premier monastère, il maintint fermement la vie régulière : aucun moine n'eut plus la licence, comme précédemment, de dévier du chemin de la sainte vie en s'écartant à droite ou à gauche. De rage, les frères perdirent la tête. Ils cherchèrent le moyen de le faire mourir. Par sa puissante prière et par ses bénédictions, Benoît dévoile chacune des intrigues machiavéliques, et tente de démasquer les attaques de l’antique ennemi. Ben se posa donc la question des règles de morale idéale pour organiser la cité et un communauté monastique.
Suivant le conseil du Christos : « Si l’on refuse de vous accueillir et d’écouter vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville en secouant la poussière de vos pieds », Benoît quitte le monastère et revient s’installer à les hauteurs du Mont Cassin, ancien haut-lieu hétérodoxe. L'homme de Dieu dès son arrivée brisa l'idole, renversa l'autel. Le sans-nom se déchaîne et use d’artifices les plus divers pour entraver la construction du monastère… Au pire moment et en proie au désespoir, Dieu lui donna un coup de pouce dans son entreprise et Saint benoît fit un rêve étrange: " ... Au centre d'un oasis se dressait une stèle sur la quelle était fixée la tablette d'Oane, la fameuse tablette reprenant les commandements de Dieu. Cette Pierre qui avait été gravée par le doigts du Créateur et confié à la première communauté pour qu'elle n'oublie jamais qu'au delà de l'Amour nous étions aussi lié à la loi de la Création. Cette pierre qui pourtant aurait du disparaître avec la cité était là, intacte. Dans son trip onirique, Il vit un homme l’inviter à s’approcher, il semblait âgé et portait la barbe.... Il ressemblait aux portrait antiques Aristote, mais ça aurait pu être Christos ou même Oane. L’homme ramassa du sable, mais peut être que c’était du sel... Une femme portant une cruche s’approcha de lui et l’homme versa le sable dans la cruche. La femme se dirigea alors vers la stèle et versa le contenu de la cruche sur la pierre... ce n’était pas du sable, ni du sel, ni quoi que ce soit qu’il connaissait... On aurait dit qu’un arc-en-ciel se déversait sur la pierre et elle se mis à rayonner de mille feux. La tablette brillait mais sans l’éblouir, et les mots bien qu’écrit dans une langue que désormais l'homme ne savait plus lire, lui paraissaient familier. Ben s'entretient longuement avec le couple, ils dirent qu’ils représentait à la fois ce qui fut et ce qui serra, ils lui expliquèrent que la tablette avaient été préservée mais retirée de la vue des hommes car ils n’étaient pas encore prêt à la regarder, mais que lui Benoît de Pise Yaolo pourrait peut être traduire un texte qu’Aristote avait ramené après avoir découvert et déchiffré la pierre. Ils lui montrèrent où ce texte avait été caché et oublié ... "
Et le matin en se réveillant , il savait ou se rendre... un lieu très proche: une crypte mortuaire dans une grotte bien cachée à la base du Mont Cassin. Ben y trouva comme son rêve lui avait montré une envelloppe de cuir scellée contenant plusieurs rouleaux d'antiques parchemins en mauvais états. Aristote les avait rédigé en respectant le style gréco-alexendrin en vigueur à son époque et la traduction fut longue et laborieuse. Fort de sa connaissance indirecte de la Loi Divine donné par la Tablette d'Oane, Ben va rédiger dans son scriptorum 12 préceptes afin d'encadrer un minimun les moeurs relachées dans la cité ainsi que la fameuse règle monastique qui désormais portent tout deux son nom. Benoît développa son message d'ordre et de paix, seule garante d’une communauté d’hommes et de femmes tournées vers la vérité et l’éducation à la vérité.
Cette expérience a transformé sa vie et lui a donné l'inspiration nécessaire pour continuer son oeuvre. Le nouvel édifice qu'il aidait à créer fut un jaillissement plutôt qu'une construction. Des hommes silencieux apparaissaient dans la campagne ou dans la forêt, creusant, défrichant, bâtissant. D'autres hommes silencieux qu'on ne voyait pas se tenaient assis dans le cloître glacé, fatiguant leurs yeux et tendant leur esprit, péniblement occupés à copier et à recopier les manuscrits qu'ils avaient sauvés. Nul ne contestait ou ne renonçait, nul n'attirait l'attention sur ce qu'il faisait mais, peu à peu, les bois marécageux devenaient un ermitage, une maison religieuse, une ferme, une abbaye, un séminaire, une école, une cité. Des routes, des ponts la mettaient en rapport avec d'autres abbayes et d'autres cités qui avaient grandi de la même manière.
La communauté bénédictine fut ainsi fondée. Le travail y est l’axe qui permet à la raison de se développer pour la satisfaction de tous. La vigne est l’essentiel des travaux manuels, car comme le disait Benoît : « c’est le sang de la terre, don de notre seigneur aux hommes. Par ce sang, faisons fructifier la maison des hommes pour la grandeur de dieu ». Chacun avait sa place, pouvait en changer. La recherche de la beauté dans le travail car La beauté sensible est une image de la Beauté éternelle que l'âme a toujours déjà contemplée et découvrir les proportions, les mesures et les rythmes harmonieux qui permettent sa manifestation. Benoît suivait en cela les principes d’Aristote, L'essence des choses est dans les choses-mêmes, et leur donne forme. Benoît n’oublia point l’éducation des hommes : des prêtres dans chaque village, des évêques pour les mener, des moines itinérants pour sans cesse les épauler et leur faire partager la sagesse. A ceux qui protégeaient la communauté étaient réservées les part de viande pour qu’ils puissent être forts. A ceux qui prêchaient auprès des burgondes étaient attribués en priorité les fruits et les légumes pour que leur charisme se développent au mieux ; le poisson pour ceux qui restaient à l’abbaye, travaillant sur les causes premières et l’étant, leur intelligence devait être la plus vive car comme le dit Aristote : « Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. »
Un abbé pour diriger la communauté, un conseil pour l’épauler et prendre en charge les moines en petits groupes, chacun trouvant un guide toujours présent. La Bourgogne devint une grande terre de la religion aristotélicienne.
Les 12 préceptes de Saint-Benoit
1) Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement. 2) Son Saint Nom tu respecteras, fuyant blasphême et faux serment. 3) Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu dévotement. 4) Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement. 5) Meurtre et scandale éviteras, haine et colère Identiquement. 6) La pureté observeras, en tes actes soigneusement. 7) Le bien d'autrui tu ne prendras, ni retiendras injustement. 8) La médisance bannira, et le mensonge également 9) En pensées, désirs, veillera à rester pur entièrement. 10) Bien d'autrui ne convoiteras pour l'avoir malhonnêtement. 11) Foi et Raison te guiderons simultanément. 12) Seuls Aristote et Christos tu loueras, évitant les faux prophètes. ... Le jeune homme blond, âgé au plus d'une quinzaine d'années, vêtu d'une robe de bure noire affichait un sourire enthousiaste en voyant de nouveaux passants affluer auprès de sa présentation de Saint Benoît.
Il roula avec précautions le parchemin et le rangea dans son sac à dos posé contre une caisse où reposaient non loin un bâton de marche ferré et un bouclier noir. Un chat blanc était couché sur un vêtement noir roulé en boule tout contre ces objets et ce chat regardait régulièrement l'assistance avec curiosité en faisant sa toilette.
Après s'être relevé le jeune homme déclara :Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas encore, je me nomme Jean, on me surnomme aussi Jean de Puisaye, du nom de mon pays d'origine. Je suis également un ancien habitant de Tonnerre. Je viens d'être nommé Vicaire Paroissial par Monseigneur Lolotse de Nevers, afin de seconder notre Abbesse : Mère Narcotic, en charge de la Paroisse. Jean avait surpris quelques regards en coin à son équipement, il se dit qu'il devait ajouter une petite explication.Par ailleurs, sachez que je suis également Sergent de Police et que je viens de rejoindre le Bureau de Police de Tonnerre sous les ordres de mon Lieutenant Pardaillou.
N'hésitez donc pas à me rencontrer pour toute question religieuse ou civile, je suis là pour vous.
Bien, les discours ont assez duré, venez donc partager ce pain d'épices et ce vin tant qu'il est encore chaud !
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| | | Jean de Puisaye ancien clergé de l'archevéché
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| Sujet: Re: [Messe] Messes sur les Saints Mer 25 Nov 2009 - 7:20 | |
| Une messe en l'honneur de Saint Thomas fût célébrée le 22/11/1457 en l'église Saint Thomas de Tonnerre. Elle est disponible dans les archives des messes. |
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